Fry : Bonjour, pourriez-vous m’accordez quelques minutes pour une interview ?
Tails : Of Course ! Aren’t you the famous Fry ?
Fry : Oui, oui… hum… (il faut bien se jeter des fleurs ^^). Voilà, déjà, qui vous êtes vous ?
La nouvelle : Bonjour à tous, je m’appelle Cream the Rabbit et je suis une mignonne petite lapine… Et voici mon super ami le Chao que j’ai dressée toute seule comme une grande.
Fry : Mmh, mmh… Et vous Tails, quoi de neuf depuis Sonic Advance premier du nom ?
Tails : Pas grand chose, tu sais… Si ! Je sais grinder ! Comme Sonic ! Cool non ?
Fry : Mais c’était assez mal foutu dans le premier… Il fallait sauter et appuyer sur bas, ce qui fait qu’on ne prenait jamais les barres…
Tails : Oui, mais ça a été largement simplifié dans cet épisode.
Fry : Okay. Bon j’vous laisse, j’ai un dossier à écrire sur votre nouveau titre : Sonic Advance 2.
Cream the Rabbit : Ok ! Cya !
Tails : Cya !
Fry : S’il y’a quoi ?
Cream+Tails : …. »

Maintenant que les présentations sont faites, parlons un peu du gameplay. Il n’a pas changé d’un pouce depuis le premier épisode sorti il y a même pas un an… Par contre, cette nouvelle monture est beaucoup plus dur que la précédente. Les boss, par exemple, vous ferons vous arracher les cheveux. Dans un Sonic normal, les boss se passe sur un écran. Là, le boss se fait en courant, c’est à dire un peu comme la course contre Metal Sonic dans Sonic CD, ou bien le boss du premier niveau dans Sonic&Knuckles, ou, plus près de vous, comme le boss caché dans Sonic Advance, quand vous êtes en Super Sonic. Donc vous n’est plus bloqué sur une scène mais bel et bien embarqué dans une course afin de rattraper le boss et lui tabasser sa tronche. Mais pas question de s’arrêter ! Vous devrez éviter les bombes et autres pièges que vous balance le méchant tout en essayant de vous rapprocher et puis enfin le taper. Très très dur.

Cet épisode de Sonic est d’ailleurs largement plus axé sur la vitesse que les précédents épisodes, les personnages atteignant des vitesses jamais vues dans un jeu vidéo. Peut-être un des jeux les plus rapides que j’ai vu, surtout en 2D. En fait, si vous courez durant une certaine période dans être ralenti ni rien de tout ça, votre héros dépassera la vitesse du son, créant un effet psychédélique dont je vous laisse apprécier en images.

S’axant plus sur la course, cet épisode en devient plus linéaire que les autres, mais n’espérez pas en voir le bout avant 3 ou 4h. Certes, ça parait très court, mais sachez que la durée de vie moyenne d’un Sonic est d’environ 1h à tout casser. Le jeu, en plus d’être dur, est sacrément long. De plus, les univers graphiques dans lesquels vous évoluerez seront très variés, ainsi que très chatoyants pour vos yeux (si si, regardez comment ça chatoye). Un des niveaux du jeu fait d’ailleurs penser à un niveau de Rayman, avec ses notes de musiques et ses pianos…

Maintenant, tous les personnages peuvent grinder, et effectuer cette action est devenu largement plus facile qu’avant. Il vous suffira tout simplement de tomber sur le bout d’une barre et c’est parti ! Rien de plus simple en somme. D’ailleurs, coté maniabilité c’est nickel, mes héros répondent au doigt et à l’œil, et c’est d’ailleurs tant mieux parce que déjà que ce n’est pas facile de les contrôler à cette vitesse là, alors si en plus la maniabilité était pourrie… Il y a bien évidemment toujours les émeraudes à récupérer, qui vous débloquerons un niveau caché assez sympa. Les musiques, quant à elles, se laissent écouter, mais elles sont loin de celles de la Megadrive. Quelque chose d’important à signaler : le jeu dispose de cinématiques ! Enfin, pas de vidéo mais d’images. Par exemple, la délivration (si si!) de Cream sera suivie par une série de ch’tite images bien sympathique. Le jeu japonais dispose d’ailleurs d’une option français, ce qui m’a permis de tout bien comprendre. Super ! 🙂