Avec sa centaine de jeux pas très différents sortis, la licence des Sims est une des séries les moins variées qui existent. Avec plus d’une vingtaine de jeux étant des add-ons du 2 et proposant juste un thème différent, EA n’a quasiment jamais changé le fond (je ne parle pas de SimCity et j’exclus les Urbz). Alors, l’éditeur se décide à se bouger le fessier pour pondre quelque chose de différent et qui corresponde bien à l’esprit de la Wii (que les gens imaginent « casual »). Alors, une vraie bouffée d’air frais ou la fenêtre reste fermée ?
Scénario
Si vous me demandez une partie scénario pour un jeu Sims, c’est que vous n’êtes pas bien au courant de ce qu’est la série, même pour un jeu légèrement différent… Mais bon, puisqu’il est spécial, tant qu’à faire, parlons-en. De toute façon, j’y suis forcé par un pacte de sang avec… notre… bien-aimé… maître… raaah…
*BLAF*
*quelques transfusions plus tard*
Bon, en fait, ce n’est pas faute d’en parler, car on peut dire qu’il y a un objectif, un ersatz de trame scénaristique. Ne vous attendez tout-de-même pas à une vraie grosse histoire, hein !^^ Je vais donc vous raconter tout ça.
Il était une fois, dans une ville anonyme… Euh… Disons celle-ci :
Oui, le nom me plait bien.^^ Mais c’est vous qui choisirez le nom de votre coin perdu, hein, ce nom est pas obligatoire, même si il est très bien. Bref. Il était une fois, dans cette belle ville précédemment nommée, un ère de prospérité. Les Sims vivaient, heureux, en paix, et tout cela grâce à un être très spécial et très puissant qui ne s’appelle ni Mario ni Sangoku. Il était capable de tout créer à partir des Essences (dont je vous expliquerai le concept demain… ou dans une autre partie, si j’ai envie…): des meubles, des maisons… Il rendait service à tout le monde. Mais un jour, il disparut mystérieusement autant que soudainement, et emporta avec lui la prospérité du hameau. Les Sims, au lieu de se pendre sobrement comme le font tous les geeks qui voient un jeu qu’ils attendent retardé de deux jours, fuient cette ville. Seuls quelques purs et durs restent et tentent de survivre. Mais aujourd’hui, quelqu’un arrive avec les pouvoirs innés du créateur (non, je parle pas de Dieu) Sims (ni de Will Wright). Et devinez qui c’est ? Hé oui, c’est Bibi ! Quand on arrive, il ne reste que la mairie, la fleuriste et l’hôtel, ainsi qu’une gothique. Il vous faudra faire revivre et fleurir cette ville, telle la fleur sur laquelle le fêtard imbibé urine joyeusement.
Au niveau des dialogues, mis à part les réflexions métaphysiques des personnages sur la vitesse de croissance des végétaux à fleurs en milieu semi-rural proportionnellement à la situation hydraulique artificielle, ou plus simplement l’art et la manière d’arroser les fleurs avec parcimonie. À chaque personnage son dialogue suivant ses activités, mais ce n’est jamais très intéressant
Gameplay
À jeu spécial, maniabilité spéciale. Mais ce n’est pas tant le concept du jeu qui change le gameplay que la plate-forme de jeu : la Wii. Il faut utiliser la Wiimote et le Nunchuck. Et aussi la Wii, le disque de jeu et un écran, ainsi que la sensor bar, et les câbles. Vous avez suivi ? Ah, au fait, la Wii doit être allumée et branchée. L’écran aussi. Jusque là, c’est pas très dur, on s’y fait vite.
Alors, commençons par le commencement, sinon je vais finir par m’emmêler les wiimotes. Pour se déplacer, vous devrez utiliser le joystick. Tiens, d’ailleurs, pourquoi ça s’appelle « joystick » ? Ça voudrait dire « Bâton de joie »… Ça fait un peu film pour adultes avec des métaphores bien nazes… C’est peut-être parce qu’en remuant son bâton, on a du plaisir… Arrêtez de rire, dans le fond ! Je parlais du plaisir de jouer ! Bande de… Oh et puis… On va l’appeler comme dans la notice, ok ? Donc, le stick directionnel pour diriger votre Playmobil créateur. Au niveau de la caméra, qui nécessite rarement qu’on la déplace, c’est la bonne vieille croix directionnelle anti-jeux de mots débiles qui nous aidera. Gauche et droite pour faire tourner la camera autour de votre perso pour trouver un bon angle de vue, tandis que le haut et le bas serviront à zoomer ou dézoomer. Il faut encore rappeler que la caméra est très bien placée, de ce point de vue là, c’est très bien. Mais le mouvement de la caméra est suffisamment fluide pour qu’on se plaise à, lors des déplacements, changer l’angle pour voir.
Au niveau des actions, vous pouvez déplacer votre curseur à la Wiimote ! Sans rire ! Lorsque vous passez le doigt sur un meuble/personnage ou dans certaines situations, vous voyez apparaître différentes cases vous proposant diverses actions. Lorsqu’il y en a plusieurs, vous pouvez choisir avec B ou Z. Bien sur, la pause se fait avec le bouton +, la carte avec le 2, et on peut afficher le menu où l’on peut voir son inventaire, ses missions, et les… Essences! Mais que ? Quoi ? Quouquesce ? Et bien je vous l’ai promis, et je vais vous le révéler, même si je ne m’appelle pas Jean-Michel Uyttenbroeck. (que ceux qui peuvent comprennent… :p )
C’est simple, dans le joli monde des MySims, on connaît les Essences, façon interprétée à la hache de la théorie atomique (qui n’est pas une théorie, puisque c’est vrai, mais sinon c’est pas joli, la réalité atomique). Alors c’est tout con : une pomme est faite à base d’Essences de Pomme, un jeu vidéo est fait par des Essences de Jeu Vidéo (la classe :bave: ). Mais à quoi ça sert ? Où on en trouve ? Où t’habites pour qu’on vienne te faire chier en direct live à te poser des questions ? Alors ça sert dans la construction. On en trouve un peu partout. Et j’habite trop loin. Pour toi, en tout cas.
Alors, pour recueillir les Essences, c’est tout con, on les trouve là où on trouve ce que représentent ces essences. Par exemple, pour les fruits, il y a une façon particulière. On cherche l’arbre fruitier qui contient ton végétal (comment ça un ananas ?? compte pas sur moi pour aller en chercher ! on est en zone tempérée !), on vise l’ananas avec le curseur (qui est une main), on appuie sur A pour l’agripper, et on secoue vigoureusement. Ensuite, plus qu’à ramasser. Ah, la cueillette à la MySims ! Y a qu ça de vrai ! Même pas besoin de réfléchir, et aucun problème pour les nains… C’est vraiment nickel !^^ Par contre, je disais que c’était le modèle atomique arrondi à la hache, parce que pour une pomme par exemple, au lieu d’avoir des tas de molécules différentes, on a l’essence Pomme. Continuons dans la recherche. Autre moyen : creuser ! Vous activez votre détecteur d’essences (il me faudrait ça pour ma croisière en Arabie Saoudite…) ( tous les ustensiles sont livrés avec le personnages. non échangeable. garantie deux jours) dans les endroits qui le permettent, et c’est parti : vous marchez, et vous regardez le signal: plus il est rouge et rapide, plus ça bipe fort, et plus vous êtes proche d’un filon qui ne soit pas actuellement Premier Ministre ! Quand vous êtes dessous, vous choisissez l’interaction pour creuser, et hop vous découvrez un petit coffre contenant des essences. Suivant la zone où vous êtes, la récolte sera différente, au même titre qu’on ne trouve pas les mêmes espèces animales au Sahara (ou il n’y a pas grand chose) ou au Pôle Nord (ou il n’y a pas non plus grand chose, mais en plus froid). Je vais vous parler des zones, mais attendez, pasque c’est long pour tout expliquer.
Ensuite, je vais vous parler de la très grosse innovation du jeu : la création ! Maintenant, vous ne choisissez plus sur un catalogue de type suédois pour trouver un meuble qui fasse bien ressortir vos yeux (ou votre T-Shirt qui, lui, fait bien ressortir vos yeux), bien que ce soit toujours possible pour les objets plus spéciaux. Soit pour une mission, soit pour vous, vous pouvez créer des meubles. D’abord, vous choisissez un modèle de base, que vous devrez respecter (comme tous les modèles, ils sont respectables), mais que vous pourrez améliorer. Pour construire, ainsi, vous avec des briques en transparence sur votre plate-forme, que vous devrez remplir obligatoirement pour que votre objet puisse être considéré comme fini, et il faut savoir qu’il est interdit de saboter certains objets. Ainsi, vous ne pouvez pas « oublier » la cuvette des WC de votre voisin pour lui faire une farce, ni barricader l’évier pour ne pas avoir à faire la vaisselle, ou mettre des pointes sur votre chaise, même si ça plaît à certains d’entre vous. Par contre, pour Alucard et Bidoman, oui, vous pourrez faire une crête dans le dos de votre fauteuil, que vous pourrez colorer en rouge, pour faire peunke. Ainsi, dans le mode construction, vous prenez un élément ou un bloc parmi tout ce qui est disponible avec A, et le relâcher avec A, le faire pivoter avec gauche et droite, changer sa taille avec haut et bas, le balancer quand vous n’en avez pas besoin avec B. Le joystick, lui… Oups… Je veux dire le stick directionnel, fait exactement comme la croix lorsque vous vous déplacez: zoom et pivoter la caméra. Ce mode de contrôle s’applique à trois situations:
– Construction : Dans votre atelier, vous construisez pour des missions ou pour vous.
– Immobilier : C’est pareil, mais pour faire une maison, et on ne peut en faire que pour quelqu’un qui aurait demandé.
– Décoration : Là, vous ne pouvez que déplacer à l’intérieur d’une maison des meubles déjà construits.
Vous pouvez aussi peindre: la peinture est illimitée, mais seulement pour les peintures normales, unies. Parlons enfin des essences pour la construction. Prenons l’essence de Jeu Vidéo, dont je vous ai montré la fiche. Dans prévisualisation, vous voyez à gauche la forme originelle de machin. Ainsi, vous pouvez le placer directement sur votre meuble. Mais à droite, vous voyez les couleurs. En effet, toutes les essences peuvent servir de peinture. Pour peindre un bloc ou poser une essence, ça vous en coûte à chaque fois une, alors autant faire des stocks, car pour vos missions, ils vous demanderont de mettre un certain quota d’essences dans leurs objets, pour mieux leur correspondre. En effet, chaque essence correspond à une attitude. Par exemple, le smiley bleu pour l’essence de JV signifie que cette essence fait « Intelligent ». Et c’est bien vrai. B-)
Sachez aussi que, comme dans les Sims classiques, vous pouvez vous faire des amis. Pour l’objectif du jeu, je vous raconterai tout ça dans la partie durée de vie, ça équilibrera… ^^
Par contre, on est dans un test, pas dans un manuel d’instructions. Alors ce gameplay, je dois le juger, de façon impartiale (la corruption peut être envisageable, à plus de 10.000€)… Hé bien, dans les déplacements, la vie du Sims, je dois dire que le perso est agréable à déplacer, avec des idées intelligentes comme secouer les arbres (quoique en fait, ce soit la seule idée requérant la détection de mouvements). Le principe des Essences est accrocheur, mais si vous commencez une partie, prenez un bloc-notes pour pouvoir vous rappeler où se trouvent les différentes essences. La construction de meubles est simple, et c’est du tout bon. À noter : de gros ralentissements, et des temps de chargement monstrueux…
Graphismes
Attention, voici le sacrilège ultime pour les fans de la licence… Les Sims ne sont plus réalistes ! °O° Pour faire court, on pourrait dire Playmobils à tête carrée : toutes les parties de leurs corps sont cubiques, et leurs mains sont de style mouflique (ouais, c’est moi que j’décide comment que j’cause :p ). Comparés aux « vrais » Sims, c’est vraiment une douche… Non, en fait, j’allais dire une douche froide, mais non : les personnages sont vraiment très kawaï, très attachants, avec chacun son style… Mais un style vraiment à part à chaque fois, pas comme chez les grands où on n’arrive jamais à se souvenir de qui est qui. Mais pour votre p’tit bout de pixels, ne vous inquiétez pas, c’est bien vous qui le customiserez ! Vous pouvez modifier sa voix (dans les graves ou les aigus, et on peut obtenir des résultats très étranges… et très sympas), sa tenue, sa coupe, ses traits, son sexe, ses yeux, et cætera. Tout cela permet d’obtenir des petits Sims bien sympas. Si vous ne pouvez pas le faire ressembler à vous physiquement, faites le ressembler à votre attitude, à votre esprit. Si les tenues de base ne vous suffisent pas, sachez que vous pourrez faire habiter dans votre ville une costumière qui vous offrira des tas de déguisement vraiment funs. Des petits persos kawais non-miis et caricaturaux, c’est vraiment agréable à voir évoluer.
Pour ce qui est du décor, on peut sans se planter et sans mentir avouer que c’est très agréable à la vue. Les textures sont assez réussies, car elles ne tentent pas du tout de faire « vrai », c’est assez dur à décrire en général. Par exemple, la texture de l’herbe, c’est une étendue verte, avec dessinées ça et là des sortes de touffes dans un vert plus clair, discrètement. C’est le genre de trucs dont on ne se rend pas compte mais qui rend plus agréable le jeu. Les bâtiments, eux… Hé ben, comme vous décidez seul comment ils sont, vous vous créez l’ambiance que vous voulez, ou presque, et du coup, ce sera quasiment toujours agréable. De plus, les différentes zones de votre trou perdu (je vous expliquerai ce concept de zones plus tard) ont chacune une ambiance très travaillée, et très bien réussie, comme la zone asiatique (je ne vous révèle que la première). Le rendu en lui-même n’est pas mauvais du tout. Pas de problèmes gênants avec la 3D. Pour les graphismes, autant dire que c’est quasiment un sans faute.
Bande-son
C’est dur de parler de la bande-son d’un tel jeu en plus d’une dizaine de lignes, mais on va tenter le coup. Alors, pour faire simple, disons que la musique principale est une musique mignonne, comme enfantine, le genre de musique qu’on mettrait dans une cour de récré de maternelle. C’est vraiment tout kawai et c’est même pas pénible ! Sinon, il faut remarquer quelque chose. Dans la ville, vous aurez pas mal d’habitants, et chacun a un style bien à lui, des fois une fonction dans la ville. Alors, quand vous passez devant leurs maisons, le thème musical change. Quand vous passez devant la maison de la gothique, vous avez le droit à une zik bien lugubre, devant la pizzeria, la musique typique des pizzerias, et cætera. Du coup, vous changez très souvent d’ambiance, et c’est vraiment pas mal. Au niveau des bruits, les quelques bruits qu’il nous est donné d’entendre sont… sans plus, quoi… Par contre, vous retrouvez le grand classique du yaourt Sim. Excellent !
Durée de vie et contenu
Bon, reprenons là où nous en étions arrêtés. Je vous ai conté les bases du jeu, les commandes, et cætera. Maintenant, je vais vous expliquer un peu comment on doit faire ce que l’on doit faire: revigorer cette ville.
Au début de l’aventure, vous voyez dans un coin de votre écran une jauge accompagnée de cinq étoiles grises : c’est la qualité de votre ville. Au fur et à mesure que vous faites emménager des gens et que vous accomplissez des missions, la réputation de la ville s’améliore, faisant augmenter la jauge, un peu comme dans un RPG. Lorsque votre jauge est pleine, vous passez au niveau étoile suivant. À la base, vous êtes au niveau zéro. Le zéro… ABSOLU !!! Bouahaha ! Euh… Je rigole, votre jauge n’est pas à -273,15. Et donc, quand vous passez au niveau supérieur, vous avez le droit à un cadeau ! Pour la premier niveau, c’est un pied de biche, puis une scie, une pioche et un chalumeau (pour le niveau 5, c’est une surprise). Cela vous permettra de détruire des obstacles qui permettront bien souvent l’accès à une nouvelle zone. Ainsi, lorsque vous détruisez ce qui doit se détruire au pied de biche (sale vandale, va ! :p ), vous aurez accès à… une caverne, pour cette fois : les cavernes renferment des types bien spécifiques d’essences, alors explorez le plus de grottes possible ! Mais aussi, vous pouvez débloquer une zone. Par exemple, la zone centrale, celle où vous restez le plus souvent, est une zone semi rurale en milieu tempéré (la politesse pour dire : trou perdu en cambrousse). Mais au niveau 2, vous pourrez débloquer une zone asiatique, avec des essences spéciales aussi bien enterrées que dans les arbres. Mais la différence fondamentale avec les cavernes (mis à part que c’est plus joli, qu’on voit le ciel, et que c’est bien plus grand (les cavernes ne sont jamais bien plus grandes qu’une simple salle)) est que l’on peut y faire habiter des gens, donc vous avez plus de place.
Mais comment faire habiter quelqu’un dans votre patelin ? C’est simple. Vous allez à l’hôtel. Tous les jours, vous avez une fournée de SDF différente. Ainsi, vous devez discuter avec une personne pour que vous sachiez ce qu’elle fait. Souvent, ce sont des gens sans métier. Les gens qui n’ont pas de fonction ne vous demanderont pas de missions, à l’inverse des commerçants (et autres personnages qui savent bien ce qu’ils font). Ainsi, par exemple, vous allez voir (je cherche parmi les premiers persos disponibles) Sophie, qui est Disc Jokey. Vous discutez une fois, et vous pourrez lui proposer d’emménager (vous ne pouvez proposer qu’à une seule personne à la fois). Après, vous sortez et vous choisissez un emplacement libre. Vous pouvez commencer à construire. Pour ce genre des personnages à fonctions, vous gagnez des trucs à pouvoir mettre sur vos bâtiments. Par exemple, avec elle, vous gagnez des boules disco, des enceintes, des cordons rouges… Ensuite, lorsque vous avez construit sa maison (avec la porte du côté où il y a une flèche, sinon la maison est à l’envers 😀 ), vous pouvez lui parler, et elle vous donnera une mission : faire un meuble avec un certain nombre d’essences. Si vous réussissez, ils vous offrent des modèles (pour pouvoir faire un meuble) qu’ils aiment bien. Chaque personnage a un nombre de missions limité. Lorsque vous gagnez un niveau, d’autres personnes sont débloquées.
Au niveau de la durée de vie, il faut savoir qu’il est long et ennuyeux (les missions sont toutes teeeeeeeeeeeeeeellement identiques) de passer un niveau. Ainsi, la solution est simple: on fait deux-trois missions, on fait habiter quelqu’un (mais vous pouvez aussi virer des gens :enfoiré: ), on retourne au Menu Wii et on joue à autre chose, puis on y revient le lendemain. Du coup, ça vous prendra des jours. 😀 Mais bon, si vous êtes un vrai acharné du pad, je ne sais pas… Pour avoir les cinq étoiles, ce ne sera pas hyper-long, mais ensuite, vous pouvez continuer à chercher les essences, à accomplir le plus de missions, bref : à compléter tous vos catalogues : le catalogue des essences, des relations, des modèles, et cætera. Autant dire que si vous voulez finir le jeu avec tout complet, vous en avez pour un bout de temps. Mais les autres trouveront ça affreusement répétitif. Et ils auront raison…
En bref…
HISTOIRE : 13/20
Ça va, c’est plutôt original, et par rapport aux Sims normaux, c’est vraiment faramineux : ils nous expliquent même ce qu’ils disent ! Waow !
GAMEPLAY : 17/20
Il y a de bonnes idées, comme la pêche à la ligne à la Wiimote, où la cueillette des fruits. Sur ce point là, aucun gros problème.
GRAPHISMES : 13/20
C’est mignon, c’est coloré, y a pas de problèmes… Sauf… Des ralentissements vraiment très gros ! Trois points en moins !
MUSIQUES ET SONS : 14/20
Des musiques sympathiques, et qui changent suivant le bâtiment que tu approches, et le grand classique du yaourt Sim. C’est tout de même pas mal !
DURÉE DE VIE : 09/20
Aïe. Autant le jeu est long, surtout pour le finir à 100% (tout compléter, quoi), autant les missions sont répétitives à mourir ! C’est vraiment dommage.
Note Finale : 14/20
Electronic Arts s’éloigne de ses Sims réalistes et de ses milliers d’extensions pour enfin tenter du neuf, et le fait est qu’ils ont fait mouche : le jeu est très mignon, pas mal réalisé du tout (mis à part les ralentissements). Créer sa ville bien à soi est une tache dont on ne décollerait pas… si seulement le jeu était moins répétitif dans ses missions. Du coup, c’est un jeu auquel on joue de temps en temps, comme ça, pour continuer, mais on s’ennuie vite à nouveau, et on joue à autre chose… Et c’est tout. En gros, MySims est un petit passe-temps, auquel ont joue une demi-heure… C’est bête, ils auraient pu faire mieux. Et c’est ce qu’ils vont tenter, ils reprennent déjà leurs mauvaises habitudes : deux autres jeux auxquels ils vont juste changer le thème arrivent : Kingdom et Party. Enfin, c’est à supposer…
