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Trauma Center New Blood

Le

par

Six mois d’attente, par rapport au nouveau continent, pour avoir le luxe de se payer une jolie jaquette avec toute la famille, au lieu d’une immonde croix rouge. C’est pas la classe ça ?! Comme vous pouvez le voir rien qu’en regardant l’image au dessus, les temps ont changé et l’équipe aussi. Fini le jeune Derek et les remakes cachés à la Second Opinion (c’est même pas écrit sur la jaquette !), Atlus nous met entre les mains de tout nouveaux personnages, lieux et évènements histoire de tout changer et de donner un bon coup de pompe à cette toute jeune licence.

Histoire

D’abord, le contexte. Apparemment, les événements se déroule quelques années après que Caduceus ait mis fin à la TAC. Le jeu commence dans un touuut petit hôpital en Alaska, où deux docteurs, Markus Vaughn et Valérie Blaylock, vont rencontrer au milieu de leurs péripéties Elena Salazar qui deviendra ensuite leur assistante infirmière.
Inutile de préciser, pour les connaisseurs de la série, que les deux médecins possèdent le pouvoir de la main curatrice, pouvoir qui ralenti le temps grâce à une extrême concentration.

Rapidement transférés dans un plus grand hôpital à Los Angeles, ils découvriront une maladie d’origine inconnue : le Stigma. Suite à la destruction de toutes les données concernant cette maladie et au fait que ces deux docteurs ont été capable de traiter le Stigma chez un « patient », il seront obligé de se rendre à Caduceus, la plus grande organisation de recherche médicale au monde.

C’est tout pour les grandes lignes. Bien sur qu’il s’en passe des choses entre tout ça, mais je vais quand même pas tout vous dévoiler.

L’intérêt du jeu reposant dans le mode co-op, les personnages principaux que vous pouvez incarner sont maintenant au nombre de deux : Markus Vaughn et Valérie BlayLock.

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Markus Vaughn :
C’est dingue de voir comment l’animation japonaise a ses repères, ces espèces de clichés qui font qu’on devine le caractère du personnage rien qu’au dessin. Markus ressemble, dans le look, au père d’Ichigo dans Bleach (c’est le premier exemple qui me vient en tête), une coupe sobre mais un peu piquante, ainsi qu’une barbe représentée par quelques petits traits au niveau de la mâchoire. La plupart du temps, lorsqu’un personnage est dessiné comme ça, c’est qu’on veut lui foutre un max de charisme, il est vieux, mais pas trop et la petite barbe est là pour nous montrer qu’il a de l’expérience, du vécu, un passé un peu mystérieux. C’est le cas pour Markus Vaughn. Cynique et charismatique, c’est un médecin renommé avec une part de mystère qui vous sera révélée tôt ou tard. Même s’il est un peu râleur sur les bords de temps en temps, c’est toujours lui qui gardera la tête froide face aux problèmes.

Valérie Blaylock :
Une gonzesse, afin de préserver une certaine alchimie. Deux hommes, ça ferait trop Village People et deux nanas ça aurait manqué de prestance, de classe masculine. Un p’tit peu plus jeune que Markus, Valérie et lui se connaissent depuis déjà quelques temps. Émotive au sang chaud, elle aura souvent pour rôle de réaffirmer la prestance de l’homme, sacrés japonais. Sa personnalité n’est pas plus développée que ça, et oui, mais elle sera suffisamment présente pour se faire entendre.

Elena Salazar :
Jeune infirmière qui remplace Angie en gros, vu qu’elle est l’assistante infirmière attitrée des deux autres docteurs. Petite, Elena, qui souffrait de problème cardiaque, se fera poser un pacemaker par Markus, lorsque celui ci approchera la date de péremption, elle ira jusqu’en Alaska afin de retrouver son médecin pour qu’il lui en remette un autre. Aussi diplomée pour son jeune âge qu’Angie l’était, elle est pourtant beaucoup plus gentille que cette dernière.

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Bien sur, étant donné que nos héros ont changé, c’est le cas pour toutes les autres têtes, il n’y a aucun ancien, enfin si, mais c’est une surprise. Le cercle de personnages à d’ailleurs grandi, vu le nombre d’horizons que vous allez traverser, mais ils gardent tous plus ou moins la place qu’occupaient les potes à Derek (vous ferez vite les rapprochements). Ce que je pourrais leur reprocher, c’est d’avoir ce côté un peu gnangnan tellement typique de la japonaiserie de base là où, par exemple, le dernier Advance Wars a su évoluer.

Néanmoins, là où rien ne pourra malheureusement changer même avec tous les efforts du monde, c’est qu’un médecin, c’est fait pour soigner. L’intrigue tourne donc encore autour une maladie inconnue, chelou et mortelle utilisée pour du terrorisme biologique. Ça sera à nos deux médecins que reviendront les opérations pour traiter cette maladie et ses diverses souches sur les différents cas. Bien sur, Caduceus et le FBI seront sur le coup.
En bref, même si l’intrigue est plus longue et complexe qu’avec Derek, vous aurez encore à sauver le monde avec vos scalpels.

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Graphismes

Alors en premier, je tiens à parler de l’intro du jeu, chapeau l’artiste ! Elle est superbe, bonne musique, jolis dessin…etc. Ca me fait un peu penser au générique de Docteur House, de par la musique et la manière de foutre un dessin d’anatomie entre deux décors ou personnages.
Vraiment classe, ça donne un p’tit frisson quand on la voit pour la première fois.

Autrement, bah de très beaux artworks aussi bien au niveau des personnages (pleins de jolies filles) que des lieux, qui sont dans la même voie qu’avait prit Second Opinion, à savoir ce côté futur high-tech.

Markus et Valérie verront du pays au cours de cet épisode et ne resteront pas en permanence à Caduceus, ce qui vous donnera l’occasion d’admirer tous les décors et personnages propres aux lieux que vous donnent les dessinateurs. Petit détail génial, rien n’est crade, même quand c’est sensé l’être (je ne vous dit rien pour ne pas vous gâcher la surprise d’un scénario intéressant).

Mais je trouve toujours dommage ce côté console portable, j’entends par là que faire parler des artworks sur une console de salon, c’est très Nintendo comme vision, personne n’oserait faire ça. Sur console portable ça passe, mais sur télé, ça a un petit côté pauvre en costard, il est peut être propre et classe avec, mais il l’a acheté chez Kiabi… Et c’est pas parce que chaque perso à trois, quatre dessins différents que ça change quelque chose. Enfin si, ça nous empêche juste de grincer des dents sur un éventuel docteur aux polygones un peu trop carré

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Passons au cœur du jeu (et c’est l’cas de l’dire) : le corps humain.
Là non plus, rien n’a changé. Le but n’est toujours pas de vous faire dégueuler en vous montrant du boyau dégueulasse, mais de vous faire opérer dans une espèce de chambre froide, sur des organes plein de couleur et un corps totalement bio high-tech. Tout est fluide, beau et propre et le manque de grain sur les éléments nous donne l’impression de jouer avec des machins en plastique. Les graphismes évoluent aussi avec l’ambiance du jeu. Alors que l’écran sera tout beau quand le patient va bien, il prendra une teinte de plus en plus rouge s’il s’approche de la mort (ajouté au BIP BIP BIP, ça fout le stress !). J’aime toujours autant le petit effet de déformation provoqué par le pouvoir de la main curatrice.

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Que dire de plus mis à part ça ? Trauma Center n’est pas vraiment un jeu où les graphismes nous dérangent. J’y ai joué sur ma télé HD j’ai rien vu de dégueulasse, vous pouvez donc l’apprécier quelque soit votre support.

Gameplay

De ce côté là non plus, aucun changement par rapport à Second Opinion. J’vais tout de même vous faire un petit topo pour ceux qui auraient loupé le coche.

Vous dirigez le pointeur avec votre Wiimote, le « Style Nunchuk », comme c’est si bien dit au tout début du jeu, vous sert à sélectionner vos instruments, d’un simple coup de stick dans une des 8 directions. Pas besoin de maintenir le stick calé (comme je fais moi), car si vous le faites, vous risquez de changer d’instrument, a cause d’un coup de pression involontaire sur le pouce, et vous retrouver à taillader le pauvre patient.

Pour tout ce que vous aurez à faire, vous n’aurez qu’à maitriser la combinaison très simpliste du Wiimote-Nunchuk : on sélectionne un outil avec le stick et on interagit avec le pointeur. La plupart des outils opèrent en appuyant sur le bouton A, sauf pour la pince où il vous faut appuyer sur A et B en même temps, comme dans Second Opinion.
Ce qui est amusant dans Trauma Center, c’est que sous l’effet de la panique et de la pression, vous vous mélangez les crayons entre les instruments et dans le feu de l’action, la perte de temps n’est pas permise.

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Chacun possède bien sûr ses fonctions propres et aucun sera délaissé, ils auront à peut près tous leur heure de gloire à un moment. La morphine sera votre grande amie car c’est grâce à elle que vous pourrez remettre un peu de vie au patient. La plupart des opérations sont nouvelles et, même si le Stigma est semblable à la TAC, vous verrez par la suite des modes opératoires inconnus de la bande à Derek.

En gros, c’est exactement le même gameplay que dans le précédent opus, MAIS ça aurait été parfait si deux, trois petits problèmes ne s’étaient pas invités.

Tout d’abord, un gros problème avec la main curatrice.
La main curatrice, c’est ce pouvoir qui vous permet de ralentir l’action afin d’être plus efficace sur une durée néanmoins très courte. En maintenant le bouton Z appuyé, il vous faut reproduire une étoile de David d’un seul trait pour activer le pouvoir. C’est là où ça merde, alors qu’elle était niquel à réaliser sur Second Opinion, elle est dans New Blood complètement merdique et j’insiste sur l’adjectif ! Le tracé rajoute, sans que l’on sache vraiment pourquoi, d’autres sommets et lignes qui rendent mauvaise la manipulation. Le pire, c’est que parfois, il s’active même si vous faites un caca à l’écran, qui ressemble à tout sauf à une étoile.
Combien de fois le patient m’a claqué entre les mains, juste parce que le jeu a refusé de valider mon étoile et que j’ai perdu du temps à la refaire, en vain… Frustrant.

L’autre problème, avec lequel on avait déjà un peu de mal avec la version Wii précédente, c’est la suture. Contrairement aux version DS, les sutures ne sont pas des gribouillis, les fils sont tout droit et se coupent pour faire un sommet, ce qui rend l’opération plus délicate et beaucoup moins rapide que sur portable.
Dans New Blood, la suture est encore plus délicate à réaliser.

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Ca s’arrête là pour les problèmes, mais l’imprécision du tracé pour la main curatrice est vraiment gênante et vous fera sûrement échouer quelques missions, c’est dommage.

Parlons un peu de ce qui fait la nouveauté de cet épisode. Deux médecins, ça veut dire deux joueurs !
Après une longue partie très intense avec Frostis sur sa télé HD, c’est juste impeccable, fluide et, comme la plupart des jeux en co-opération bien foutus, on s’entraide en se répartissant les tâches, ce qui est beaucoup plus amusant et vivant que de jouer seul devant sa télé.
Tout reste exactement pareil, sauf pour le joueur 2 qui aura un peu de mal à se souvenir que son panel d’instruments est à droite de l’écran (et non à gauche comme il en a l’habitude en solo). Les deux pointeurs ont une couleur différentes et je me suis jamais mélangé les crayons, alors si j’ai pas eu de problème, ça devrait aller pour vous.

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Musiques et sons

La BO du jeu est l’une des meilleurs des Trauma Center (quoique j’aime bien le thème jazz du dernier sur DS). A la fois calme et entrainante, collant parfaitement avec un univers hospitalier tranquille sauf quand ya du grabuge évidemment, mais ça reste agréable dans son genre et on est pas forcé de baisser le son ou de prier tout les dieux pour que cette scène prenne fin, comme avec un certain rock Sega…
La musique de Caduceus est audible aussi, et ça fait franchement du bien parce que dans Under the knife et Second Opinion, c’était vraiment insupportable au bout d’un moment.
Le thème de début d’opération, que l’on reconnaît au premier coup d’oreilles à été amélioré lui, ça donne un meilleur effet que l’original. Je pense que ce thème restera celui de la série tellement il porte bien son étiquette Trauma Center.

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Durant les opérations, la musique n’est pas la même en fonction de l’importance de celle-ci, en gros, s’il s’agit du stigma ou non, dans ce dernier cas, la musique peut tout de même changer si l’opération se complique.
L’environnement sonore participe aussi à la panique et au stress que peut générer une opération, la musique qui s’accélère, le rythme cardiaque qui s’affole (les bip)…etc. Les sons des instruments sont quant à eux les mêmes qu’avant, rien de vraiment particulier.

Grande nouveauté encore une fois, les voix. Désormais, tous les textes sont parlés en anglais. Même si l’anglais nous casse un peu les oreilles par moment, il faut bien avouer que ça donne un côté plus vivant et dynamique que de lire du texte avec juste de la musique comme c’est le cas sur DS.
Au niveau du doublage, c’est mitigé. Moi je l’ai trouvé bon et un ami n’a pas aimé, à vous de voir. Le grand défaut de ces voix, c’est que, étant donné que les personnages parlent tout l’temps, ça à tendance à devenir très agaçant, notamment avec ce putain de présentateur de mes deux qui m’aurait bien donné envie de jeter ma Wiimote dans la télé comme ces crétins, tellement sa voix de… présentateur est insupportable.
Le grand avantage, c’est que vous n’avez plus à lire pour savoir quel instrument utiliser, les instruments ayant à peu près le mêm nom dans les deux langues, il vous suffit de savoir les identifier « Use the forceps », «Use the drain »… pas compliqué.

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Durée de Vie

C’est long, quoique…

En fait, vous passerez plus de temps à lire les dialogues qu’à opérer vraiment. Atlus à d’ailleurs eu la bonne idée de retirer la mauvaise de Second Opinion, à savoir, les chapitres spécial scénar’ aux cadres vert carré, qu’on pestait en les voyant arriver parce qu’on savait qu’on allait pas jouer. Là, ok on se tape du texte, mais au moins on joue à un moment.

Concernant la durée de vie du jeu, je ne pourrais pas vous donner un chiffre exact car je ne l’ai pas fini, mais je peux juste vous dire qu’il est plutôt long (j’ai fais un long chemin et il reste encore plein de mystères). Il y a 7 ou 8 chapitres en tout, il me semble. Tout est bien sûr relatif, comme je l’ai dit là-haut, vous passez plus de temps à lire qu’a jouer car en zappant tout les textes (touche + ou – je sais plus) il ne vous durera qu’une poignée d’heures.
Le jeu est assez dur, plus dur que Second Opinion où j’en suis resté au chapitre inédit. Par exemple, vous vous souvenez de la mission des anévrismes ? Plutôt dure celle là hein ? Pas mal de monde est resté bloqué dessus. Dans New Blood, ils ont du se dire que c’était pas assez dur, donc Atlus nous a sorti des anévrismes à trois branches en plus des normaux à deux. Bonne chance ^^ ! En fait, la difficulté est calibrée pour le mode co-op, vous vous en rendrez très vite compte. J’ai personnellement galéré comme un connard sur certaines avec lesquelles je n’ai eu aucun problèmes en jouant avec Frostis tout simplement parce qu’une autre paire de mains m’auraient été bien utiles.

C’est avec un mode multi pareil qu’on voit le vrai Nintendo. Une télé, un pote, une soirée et c’est parti jusqu’à pas d’heure dans la bonne humeur. Ca me désespère de voir que certains développeurs dégagent le multi local au profit du online (et c’est de plus en plus le cas). Où va l’esprit de compétition entre potes dans la même pièce, la déconne, la bonne humeur, les soirées sans fin ??

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Bref, le mode co-op est complémentaire au solo, ce qui veut dire que si vous débloquez une mission dans l’un, elle le sera aussi dans l’autre, ce qui évite de devoir se retaper tout les dialogues avec son pote si vous l’avez fini en solo (si vous êtes Dieu) et ainsi de faire tout d’affilé, c’est mieux.

Au fait, la Wiimote du joueur 2 se synchronise quand vous activez le mode co-op dans le jeu (en haut à droite dans le menu des missions), ça vous évitera de galérer comme nous pendant une demi-heure en pestant sur les piles ou la manette.

Comme dans Second Opinion, vous pouvez changer à tout moment la difficulté du jeu : facile, moyen et expert. Les rangs sont toujours distribués aussi bizarrement qu’avant, ils vous collent un C quand vous gérez et parfois un A voir un S quand vous faites du caca.

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EN BREF…

HISTOIRE : 16/20
Très intéressante et pleine de rebondissements. Les nouveaux personnages ont tous de bonnes personnalités, surtout le docteur Vaughn à qui il faudra obligatoirement un autre épisode (sauf si ça se termine mal, je sais pas, j’ai pas vu la fin). Du très bon.

GAMEPLAY : 12/20
Impeccable et intuitif comme son ainé. Dommage que le tableau soit salement terni par ce gros problème de tracé de la main curatrice qui agace vraiment. Je salue néanmoins la nouveauté et la variété des nouvelles opérations qui sont intéressantes à réaliser.

GRAPHIMES : 15/20
De beaux dessins et des jolis boyaux, comme dans Second Opinion. Un gros bonus pour la cinématique d’intro que j’ai adoré. Il serait par contre temps de nous mettre autre chose que des dialogues de console portable non ?

MUSIQUES et SONS : 14/20
Du très bon, même si la jolie musique du menu de Second Opinion est partie, les compositeurs ont enfin rendu le thème de Caduceus audible, un soulagement.

DUREE DE VIE : 16/20
Long et dur, c’est surtout l’apport du multijoueur qui fait grimper la note. Il vous suffit d’un pote avec un combo Wiimote/Nunchuk et une longue soirée devant soit pour repartir dans le jeu et l’apprécier comme lors du déballage.

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Note Finale : 16/20
Un renouvellement complet des personnages, de nouvelles opérations dures et variées et un mode multijoueur tout à fait prenant. Si tous les jeux pouvaient être pareils, ça serait merveilleux !
En ce Noël de disette sur console Nintendo, si vous avez un frère ou un pote avec une manette Wii, je vous recommande ce jeu ne serait-ce que pour le bon moment que vous allez passer dessus et ce, malgré ces défauts qui auraient très bien pu ne pas en être.

Voir aussi :

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