La liste des jeux musicaux à accessoire est longue et variée : Beat mania, Guitar freak, Dance Dance Revolution, Samba de Amigo… C’est un style de jeu qui a été lancé par Konami avec Beat Mania, et au vu du succès, bon nombre de développeurs se sont lancé dans cette voie comme Sega et son inoubliable Samba de Amigo. Aujourd’hui c’est au tour de Nintendo de s’y mettre… Ou plutôt de Namco ! Et oui, Nintendo a refilé le bébé et la licence DK à Namco. Et le choix n’est pas anodin puisque Namco est le créateur de Taiko no Tatsujin, un jeux musical qui se joue avec des… Tam-tam !
C’est bien de Tam-tam dont il s’agit dans Donkey Konga. Sortie à Noël 2003 au Japon, et à l’heure ou eux, jouent déjà à Donkey Konga 2, nous autres européens avons enfin la joie d’accueillir ce jeu tant attendu. La raison de sortie tardive est du au fait qu’il y a une version européenne, américaine et japonaise du jeu. Et pour chacune de ses versions, les chansons ont été changées en fonction du style musicale de chaque pays. Quelque part, c’est dommage, j’aurais bien taper le rythme sur de la J-pop.
En tout cas le test vous dira si les musiques choisies valent le coup, si le jeu vaut le coup et si le choix de Namco dans le développement d’un jeu Nintendo était judicieux.
Histoire
Un jour, alors que Donkey Kong et Diddy se promènent sur la plage, ils tombent sur deux drôle de barils.
– « Quels étranges barils! Je me demande d’où ils peuvent venir.«
Diddy décide de montrer leur découverte au vieux sage Cranky Kong.
– « C’est ce qu’on appelle un bongo« , leur annonce Cranky.
Donkey Kong renomma leur trouvaille un bongo DK, et en moins de deux, ils commencèrent à battre la mesure, à taper dans leurs mains et à s’imaginer une vie de gloire dans la musique, avec des bananes à gogo !
Un scénario bateau pour un jeu qui va faire des vagues.
Donkey Konga n’a pas de scénario sinon juste une petite histoire qui permet de présenter les personnages que l’on retrouvera dans le jeu et surtout de se rappeler que la licence, c’est Donkey Kong. Cette petite histoire est présentée sous forme de diapositives qui défilent avec un texte en dessous. Dommage, j’aurais bien aimé voir une petite intro en images de synthèse, mouvante et dynamique qui aurait présenté Donkey Kong et son pote Diddy se déhanchant sur la musique ; comme dans un certain DK64 et sur un certain DK rap. Et bien non, Capcom a dû trouver futile de perdre son temps à faire des intro animées plutôt que de se concentrer sur le jeu lui-même. Et quelque part, il n’a pas tout à fait tort, parce qu’après tout, quand on allume la console on n’attend qu’une chose : jouer !
Graphismes
Donkey Konga n’est pas un jeu en 3D avec un environnement 3D temps réel. Donkey Konga, c’est un jeu en 2D en scrolling horizontal. Sauf que là, ce n’est pas des petits personnages qui défilent sur l’écran en sautant de plate forme en plate forme, mais des icônes qui défilent sur une scène quasi figé. Un arrière plan, la piste des icônes, un personnage et quelques renseignements sur le jeu, voilà tout ce qui fait les parties.
En gros, il y a une dizaines d’arrière plan différents, tous aussi simplistes les uns que les autres. Les images de synthèses présentée en arrière plan sont d’une qualité toute relative quand on sait ce dont est capable une GameCube. Les couleurs bavent un peu et on se croirait de temps en temps devant un arrière plan de DK sur SNES. De temps à autre, quelques animations comme de la pluie ou des « bananes sur pattes » se baladent sur l’arrière plan. Heureusement, il y a très peu de chance que vous ayez l’occasion de bien les regarder (et les critiquer comme moi) car votre attention sera plutôt attirée par l’essence même du jeu : la piste des notes !
Sur cette piste, vous verrez défiler les icônes qu’il faut taper en rythme. Bien souvent, elle est aussi rudimentaire que les arrières plan mais on n’y prête moins gare qu’aux icônes qui défilent. Des icônes toutes simples, des ronds colorés. Sans dégradés impressionnants de couleurs, sans artifices aucuns. C’est ce qui permet une clarté de lecture optimum de la piste. Et il en faut de la clarté de lecture quand on joue à Donkey Konga. Parce qu’il faut suivre les icônes qui défilent souvent à toute vitesse, il ne faut pas en perdre une de vue sinon c’est l’échec assuré.
Côté menu, c’est tout aussi simpliste, tous les menus sont les mêmes. Un texte écrit sur une petite planche de bois que Donkey Kong fait descendre ou monter selon votre choix. C’est loin d’être original et ça manque un peu de vie et de dynamisme.
Le design général, que ce soit dans les menus ou dans les illustrations de la boite et du manuel me fait penser à Samba de Amigo (Fry, si tu m’entend…). C’est le coté fête espagnol qui ressort avec des couleurs chaudes, des logos qui ressemblent à des sombreros ou encore des petits palmiers illustré un peu partout dans le bouquin.
Bref, les graphismes sont très sobres, c’est un peu décevant au départ et puis on se rend vite compte que ça n’a pas d’importance pour ce style de jeu.
Musiques
Pas moyen de trouver la playlist sur le web ! C’est pas scandaleux ça ??? Donc je suis obligé de me la taper moi même ! Vous avez intérêt à devenir mes sujets après ça…
Pop :
– 99 red ballons (Voilà quelque chose qu’Akin déteste niak niak ! Une des plus difficiles, quelque soit le mode. Mais tellement fun ^^)
– Alright
– Back for good (Le plus beau slow que je connaisse, mais pas si facile à jouer. Dommage que je sois célibataire et que j’ai des grands pieds :p)
– Busy Child
– Canned Heat
– Cosmic Girl
– I want you back
– Lady Marmelade (Plus culte, tu meurs !)
– The Loco-Motion (Come on baby to the Loco-Motion with me !!! -Voilà un bel exemple d’effets secondaires d’une exposition prolongée à Donkey Konga ^^)
– Tubthumping
– You can’t hurry love (Si si ! C’est bien la musique d’une pub pour Fiat ya quelques années !)
Funk :
– September
Latino :
– Oye Como Va
– Para Los Rumberos
Classique :
– Danse Hongroise n°5 en sol mineur
– Marche Turque
Vieux tubes :
– Dancing in the street
– Louie Louie
– Sing, Sing, Sing (with a swing)
Rock :
– All the small things
– Don’t stop me now (Wéééééé !!! Queen au pouvoir !!!)
– Richard III
– The Impression that I get
– Wild thing
Niiiiintendooooooo :
– Rap DK
– Thème Donkey Kong Country
– Thème Donkey Konga
– Rainbow Ride
– Thème de Super Mario Bros.
– Ouverture de Super Smash Bros Melee
– Thème The Legend of Zelda
Voilà ! Si vous y trouvez pas votre bonheur, allez vous faire bouffer par des canards, et ça ira mieux ensuite. On remarquera que Nintendo a dû dépenser pas mal de fric pour avoir un beau pourcentage de musiques connues dans le soft.
Les bongos
Alors ! A quoi ressemble notre nouveau jouet ? Tout simplement à deux tonneaux, stylés dans l’esprit de ceux que l’on croise dans les jeux de la saga Donkey Kong. Pour éviter d’avoir des échardes pleins vos mimines, ils sont faits en plastique. C’est moins cher et plus solide aussi faut dire …Ils sont recouverts sur le dessus d’une petite peau toute blanche. C’est là-dessus qu’on doit taper frénétiquement. Le diamètre de ces zones est d’environ 12 cm, soit la taille d’un CD-ROM. L’engin fait donc 2×12, 24 cm de large, plus une petite partie centrale. Comptez 4 cm de plus, ça passe donc à 28 cm de large. Cette partie centrale justement est très importante. C’est là qu’on trouve le microphone, qui capte vos claquements de mains. En façade, on y trouve un bouton « start/pause » qui est utilisé lors de la navigation dans les menus et pour mettre le jeu en pause.
Le fond plat de la bête vous permettra donc de le poser sur une surface plane pour un meilleur confort de jeu. Si on s’attarde sur les surfaces nécessaires au jeu, on peut noter qu’on sent les capteurs logés sous les zones de frappes en insistant, mais pas de quoi déranger le jeu. C’est plutôt souple (déjà que ça fait mal aux mains comme ça, j’imagine pas si ça avait été dur) et plutôt agréable au toucher.
Les capteurs étant bien placés, il est inutile de taper comme une brute. Vos mains auront ainsi une plus longue durée de vie :p.
Pour ce qui est du microphone, il capte très très bien les sons, voire même trop bien. Au lieu d’applaudir, vous pourrez taper sur le bord du Konga, sur une de vos jambes ou sur la tête de vos adversaires. Pratique ? Oui, cela permet à plusieurs joueurs de participer avec une seul Konga (un tape sur la Konga, les autres applaudissent) Dans l’ensemble, la Konga (ou Bongo en français, mais je trouve ça ignoble …) est très bien structurée. Reste à voir si elle supportera convenablement le poids des années, d’ici la sortie d’Odama. Par contre, il devrait tenir jusqu’à la sortie de Donkey Kong Jungle Beat, prévu pour février 2005 dans nos contrées. Espérons qu’il ne soit pas rapidement oublié par Nintendo, et que pourquoi pas, il fasse l’objet d’une future collaboration avec le micro NGC !
Bon on passe à la suite, parce que là, j’ai l’impression d’être un vendeur de télé-achat…
Gameplay
Le gameplay est forcément unique puisque si DK Konga n’a pas le mérite d’être le premier jeu musical à accessoire, il est au moins le premier jeu musical a utiliser des tam-tam qui ressemblent à des tam-tam. Quand on les a en main, on a qu’une chose en tête : taper dessus !!!
C’est très simple : Icône rouge : on tape le bongo droit. Icône jaune : on tape le bongo gauche. Icône rose : on tape les deux en même temps et icône bleu, on tape dans ses mains. Quelques variantes s’ajoutent à ces bases comme, par exemple, le roulement de tambour qui permet de taper comme des malades sur les deux bongos en même temps.
Je ne sais pas vraiment pour quelle raison ce jeu est aussi jubilatoire. Car finalement ce ne sont que deux bêtes tam-tam qui ne produisent même pas de sons (puisque le son est rendu par la TV), le gameplay est bête comme chou, il suffit de taper quand on vous le demande et il ne vous ait demandé aucune réflexion. Point de réflexion, en revanche de réflexes, il en faut. Des réflexes vifs, une concentration imperturbable et un sens du rythme, voilà ce qu’il faut pour réussir une bonne partie de Donkey Konga.
Quand vous êtes seul, c’est très facile de rester concentré, ça permet en outre de terminer toutes les chansons pour gagner des pièces et acheter des nouveaux sons pour vos bongos. Mais à plusieurs, la concentration risque d’être fortement perturbée. Déjà, on est toujours tenté de regarder les notes du voisin pour voir s’il fait mieux que vous. Seulement les icônes qui défilent ne sont pas les mêmes que pour vous. Et justement, ce ne sont pas les mêmes que vous car toutes les musiques sont étudiées pour être jouée à plusieurs et si chacun réussi bien son jeu, la mélodie devient encore plus rythmé qu’à la normal puisque tous les bruits des bongos seront synchro et joué quand il faut.
Alors plus on est de fous plus on rit, encore une fois le vieil adage avait raison. On tape comme des malades sur les bongos, on tape comme des malades dans nos mains et c’est quand on a fini de jouer qu’on se rend compte que si le bongo est très costaud et résiste ardemment à nos frappes excessives, nos mains, elles, ne tiennent pas le coup et les rougeurs guettent. Alors on se les frotte et l’envie de taper est tellement forte qu’on continue malgré l’insignifiante douleur de nos mains. Enfin, ce jeu est fou et à la fin d’une musique, si on s’est bien donné, on a quelques gouttes qui coulent le long du front. Impressionnant pour un jeu vidéo, non ?
C’est le premier jeu à accessoire auquel il m’est donné de jouer, et c’est certainement le jeu le plus jubilatoire que je connaisse. Ça défoule comme c’est pas permis !!!
Notez quand même que si vous avez mal aux mains ou plus simplement si vous avez déjà cassé vos Bongos, vous pouvez également jouer avec une manette (la crois ou le stick remplacent le bongo de gauche, les boutons de commande remplacent le bongo de droite et les gâchettes remplacent les applaudissements). Mais ça devient assez moyen quand on en arrive là.
Durée de vie
On entre une nouvelle fois dans la problématique des jeux axés multijoueurs : le soft a-t-il de quoi convaincre les joueurs solitaires et endurcis ? Et bien avec la quantité tout à fait honorable de modes de jeux et la difficulté extrêmement bien dosée, Donkey Konga a tout pour plaire aux plus insociables d’entre vous. Voyons cela en détails :
Donkey Bongo : C’est le mode de jeu principal, accessible seulement à un joueur. Ici vous pouvez jouer les morceaux en mode facile ou difficile d’emblée, en essayant d’obtenir le DK d’or tant convoité en remplissant la jauge de notes à son maximum. A défaut, vous obtiendrez en DK d’argent en passant la barre « Success » ou vous pourrez lamentablement vous planter. A travers 30 morceaux ultra connus, la fièvre du Konga va vous contaminer.
Pour le mode expert, il faudra acheter les morceaux à DK ville. Un mode toutefois pas très utile, vu qu’on s’y prend la tête plus qu’autre chose. Le challenge est à relever pour les plus professionnels du Konga, mais le fun reste à son apogée en mode difficile.
Défi : Jouable seul comme à deux, ce mode vous propose de jouer sur le plus de morceaux possible, tout en les réussissant bien sûr.
Duel : Comme son nom l’indique, les duels se jouent à 2, et uniquement à 2 ! Vous pouvez ainsi vous mesurer à un ami pour savoir quel est le meilleur percussionniste de votre bande !
Session libre : De 1 à 4 joueurs, le mode Session libre vous propose d’organiser un concert de Konga, sans gagnant ni perdant (toutefois, comme les scores sont affichés à la fin …). S’il vous manque des amis, l’ordinateur peut occuper cette fonction. Hé oui ! C’est beau la technologie !
Jeux de singes : A 1 ou à 2, vous pourrez ici jouer à 3 petits minis-jeux plus pitoyables que ludiques. Il vous faudra en plus les acheter à DK ville pour pouvoir y jouer.
DK ville : Allez hop ! Un peu de shopping une fois que vos mains ne pourront plus taper sur les Kongas ! Vous pouvez y acheter les morceaux du niveau expert, les minis-jeux très mauvais et pleins de sons pour vos Kongas. Plutôt amusant de se faire un thème de Zelda en entendant Link crier à chaque fois qu’on tape notre nouveau jouet !
Ce jeu est un peu comme Mario Kart ou Super Smash Bros en multi : vous y accrochez ? vous y restez ! Toutefois, à 35€ la paire de Bongos, ça revient cher d’équiper ses amis. Trouvez vous des amis qui ont le jeu, vous éviterez ainsi d’acheter d’autre matériel. En solo, le jeu est aussi très prenant. L’obstination de tout réussir en DK d’or aura vite le dessus sur votre raison. Et parmi les belles listes de musiques présentes, il y en aura forcément une qui vous fera revenir sans cesse sur le jeu (pour ma part, c’est The Loco-Motion). Une belle rigolade à plusieurs, mais également seul. De ce coté là, Donkey Konga remplit parfaitement le contrat, bravo !
En bref…
Graphismes :
Skywalker06 : –/20
On note pas deux ou trois petites animations, de plus dans un jeu où cette note n’a aucune intérêt.
Micke : 10/20
Les graphismes ne sont pas les points forts du jeu, mais comme de toutes manière on a pas le temps de s’y intéresser quand on joue, ce n’est pas grave.
Musiques : 18,5/20
Skywalker06 : 20/20
Une trentaine de morceaux, du classique au hard rock, en passant par des airs latinos (naaaaan !! pas Lorie !!!). Pour tous les goûts ! De quoi vous tenir en haleine de longues heures ;).
Micke : 17/20
Que des bonnes chansons bien rythmées et que tout le monde connaît, mais le nombre n’est finalement pas assez grand et j’aurais aimé avoir quelques chansons de la version japonaise.
Gameplay : 20/20
Skywalker06 : 20/20
Un vent de fraîcheur avec un Bongo très bien conçu. Le capteur de son permet à d’autres joueurs autour de vous de participer en applaudissant, c’est très fun !
Micke : 20/20
Le jeu a été pensé pour le gameplay qui est le plus simple qui puisse exister (taper sur des tam-tam), mais c’est aussi super fun.
Durée de vie : 18/20
Skywalker06 : 19/20
Avec Mario Party, Mario Kart et Super Smash Bros Melee, Donkey Konga s’impose comme une des grandes références du multijoueur sur GameCube ! Seul comme à 4, vous y reviendrez souvent.
Micke : 17/20
Inlassable en multi joueur, on revient sans cesse sur les musiques pour améliorer nos performances. Seul en revanche, vous ne ferez pas 3 fois les mêmes chansons ce qui réduit considérablement la durée de vie.
NOTE FINALE : 18,5/20
Skywalker06 : 19/20
J’avais vraiment envie de mettre 20, mais je me suis finalement rendu compte que le jeu ne méritait pas la note parfaite. Oui le jeu est fun. Oui il est varié. Oui il est pour tous. Oui c’est une bonne petite nouveauté que de délaisser sa manette. Mais non, le jeu n’est pas le jeu qui fera rêver les gens pendant des mois. Non, le jeu ne peut pas prétendre à égaler Metroid Prime. Ca n’en est pas moins un excellent investissement : vous ne lâcherez pas le jeu au bout de quelques heures si vous êtes seul, pas comme Wario Ware début septembre. 31 musiques vous accompagneront tous les jours dans votre petite tête, de quoi égayer une bien triste journée de boulot (ou de lycée ^^). On regrettera une chose : que Nintendo n’est pas investi dans le online, de manière à télécharger régulièrement de nouveaux morceaux. Mais bon, si ça avait été le cas, Donkey Konga 2 n’aurait plus eu grand intérêt. Alors comme d’après le récent planning Nintendo Europe, on doit pas l’attendre de sitôt, jouons tous à Donkey Konga, pour retrouver un fun qu’on avait pas égalé depuis quelques temps déjà. Quant au multijoueur; le seul problème est qu’il vous faudra 105€ supplémentaires pour équiper trois de vos amis ! Enfin, si vos amis ont eu la bonne idée de se procurer le jeu, c’est tout de suite plus intéressant. Parce que merci mais, débourser 165€ juste pour des rigolades entre potes, c’est hors de question ! Ca sera donc 19/20, par regret que Nintendo n’ait pas donné à son jeu une durée de vie à rallonge via le online et qu’il n’ait pas eu la bonne idée de vendre le jeu avec deux paires de Konga. Malgré cela, on en veut encore ! On veut Donkey Konga 2 rapidement !
Merci Namco et merci Nintendo d’avoir donné un petit vent de fraîcheur à notre GameCube adorée !
Micke : 18/20
Namco nous prouve qu’il sait créer des jeux musicaux conviviaux et super fun. Nintendo nous prouve qu’il sait choisir ses développeurs pour refiler ses licences. Donkey Konga, c’est le jeu multi joueur de l’été… arrivé en retard. C’est comme les tubes de l’été, seulement les tubes de l’été ici, vous y jouez aux bongos. Voilà un jeu bien convivial à sortir du placard quand vous recevez des amis. Les bongos font le jeu a eux seul. C’est un défouloir ce jeu, on tape dessus comme des malades, mais concentré pour rester en rythme tout en regardant si le voisin fait mieux que vous.
Dans le grand marché du jeu à accessoire et musical, Nintendo s’est désormais fait une place imposante. Un jeu musical de plus, on pourrait dire. Mais celui-ci a quelque chose de plus que les autres n’ont pas tous ; la simplicité et le fun !!! Si je regrette amèrement de ne pas avoir pu jouer sur les musiques de la version japonaise, il faut reconnaître que les chansons de la version européenne sont quand même très bien choisies et ne tombe pas dans le piège des grands succès commerciaux.
En bref, Donkey Konga c’est le jeu fun que tout le monde doit posséder pour se défouler entre amis de tout âge et de tout sexe (et de toute nationalités, soyons fous ^^).
Micke (Intro, histoire, graphismes, gameplay)
Firmalex (Musiques, durée de vie, les bongos)